L’ignominie banalisée

L’ignominie banalisée.

L’administration américaine a légalisé la torture dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Le président BUSH détermine le degré de douleur à infliger lors des « interrogatoires ».Une gégène à 10 , 20 ou 50 Ampères ? Jean Moulin, torturé et assassiné par la Gestapo doit se retourner dans sa tombe.

L’ignominie de cette légalisation trouble peu la conscience des citoyens de la « soi-disant » Grande Démocratie Américaine. L’opinion publique est plus intéressée par la sexualité de Mark FOLEY, élu républicain de la Chambre des Représentants. Les Etats-Unis ont vraiment perdu toutes leurs valeurs. Et, personne ne réagit. Les Eglises, Amnesty International, la Croix-Rouge et les ONG humanitaires ont très peu manifesté leur réprobation. Quant à l’union européenne et la Suisse, elles se plient aux exigences américaines de fichage des passagers en direction des Etats-Unis et prennent le risque que ceux-ci soient « interrogés » à leur arrivée sur la base de ces renseignements et de simples présomptions. Pour eux, le rêve américain se transformera en cauchemar.

Notre trublion cantonal se déchaîne

Notre trublion cantonal se déchaîne.

Maître Charles PONCET, notre trublion cantonal, a de nouveau sévi. Dans une lettre ouverte publiée dans l’Hebdo du 31 août 2006, il s’est, cette fois, défoulé sur Micheline Calmy-Rey. Il fustige notre conseillère fédérale pour avoir évoquer le caractère disproportionné de l’agression israélienne au Liban. Il n’a pas assez de mots pour la vilipender : réaction calamiteuse, gaffe monumentale, insigne gaucherie. Il l’accuse de ruiner l’image de la Suisse. De quelle image parle-t-il ? De celle d’une Suisse opportunément neutre pour préserver, en toutes circonstances, ses intérêts financiers ou de celle d’une Suisse garante des Conventions de Genève ?

Traitée de grenouille coassante, il l’accuse d’être inféodée à des intellectuels gauchistes, antisémites et au crâne ovoïde !!!

L’outrance de ces propos révèle chez son auteur soit une phobie anti-féministe et anti-socialiste soit un délire de son égo – lui aussi disproportionné.

Il se trouve bien seul dans sa condamnation. La commission du Conseil des Etats n’a rien eu à redire aux propos de la ministre et quatre Suisses sur cinq l’approuvent. Mis à part l’administration américaine et ses « caniches », tous les gouvernements ont réagi à la folie destructrice qui a saisi les dirigeants israéliens.

En regard à ses prises de positions antérieures, l’éloge de la frilosité et du « d’abord se taire » (« primum tacere » pour ses lecteurs érudits) est proprement sidérant de sa part. Il est vraiment à géométrie variable avec ses convictions et sa propension à agresser.

Il est dommage qu’il mette son érudition au service de diatribes dont l’outrance n’a d’égal que leur dérision.

Qui peut croire la Nasa?

Qui peut croire la NASA ?

Une nouvelle renversante nous est parvenue : La NASA a égaré les enregistrements-vidéo originaux des premiers pas de l’Homme sur la Lune !!!

Elle en est réduite à demander des duplicatas aux télévisions pour « retravailler » ces images en vue, paraît-il, d’en améliorer la clarté !!! Ne serait-il pas plus juste de dire « en vue de corriger toutes les incohérences et invraisemblances qui jettent le doute sur la véracité de la mission APPOLO du 20 juillet 1969 ? Quelle belle opportunité de perdre des originaux compromettant et de les remplacer par des images débarrassées des ombres croisées, des empreintes de pas invraisemblables, des horizons lunaires rigoureusement identiques pour des missions différentes, des zones d’alunissage intacts après le pose du LEM et d‘une multitude d’autres erreurs !!!.Après la correction de celles-ci, il restera encore beaucoup de questions.

Comment est-on passé des premières rotations de John GLENN autour de la terre en 1962 aux incroyables missions APPOLO sept ans plus tard ? Comment expliquer leur extraordinaire précision et fiabilité, alors qu’aujourd’hui, 37 ans plus tard, avec les progrès extraordinaires de la technologie et de l’informatique, le programme spatial américain est en panne suite aux défaillances des diverses navettes Columbia et Discovery ?. Comment expliquer le désintérèt de la NASA à implanter une base d’observation ou une station émettrice sur la Lune ( à la place de jouer au golf ) ? Pourquoi la technique d’alunissage en douceur n’a jamais été reproduite ? Comment comprendre la discrétion et le silence des acteurs de cette fantastique et mythique épopée ? Pourquoi le premier homme à avoir foulé le sol d’une autre terre a-t-il été écarté de la scène publique à tel point que son nom et prénom sont pratiquement inconnus du grand public ( un indice : son prénom n’est ni Louis ni Lance ). Comment, à la suite de leur expérience extraterrestre, ces héros ne se sont-ils pas senti dépositaires d’un message à l’adresse de tous les Terriens et pourquoi n’ont-ils pas éprouvé le besoin de le communiquer par des livres, des témoignages, des conférences ? Comment interpréter la légéreté de la NASA après la « perte » de ces images dont la force symbolique dans l’imaginaire du vingtième siècle est sans équivalence ? Cette indifférence incompréhensible renforce le sentiment « qu’on nous raconte n’importe quoi ».

La terre ne tourne plus rond

Au Proche -Orient, Israël détruit le Liban avec le prétexte de libérer deux soldats. Son acolyte, les Etats-Unis, gendarme du monde autoproclamé, approuve cette avanie et cyniquement s’oppose à un cessez-le-feu. L’Etat Hébreu, conforté par son indéfectible comparse perd tout sens de la mesure, s’enferme dans ses certitudes et nargue la communauté internationale.

 

Au Moyen-Orient, la croisade anglo-saxonne qui devait apporter la paix et la stabilité de la région, a déclenché une effroyable guerre civile. Le procès de Saddam Hussein se transforme en une pantalonnade où ses avocats sont tirés comme des lapins. Pendant ce temps, la marionnette appelée « Premier Ministre irakien » se fait ovationner au Congrès américain pour qu’il oublie que, chez lui, ses déplacements ne se font que sous escorte militaire.

 

En sport, le pays de la magouille et de la tricherie remporte la coupe du monde de football. Le dernier vainqueur du Tour de France cycliste a en commun avec Lance Armstrong, sextuple vainqueur, qu’il est un bon américain croyant, ami de Georges Bush et qu’il se dope. Pendant ce temps, les riches deviennent plus riches, les pauvres plus pauvres, ce qui est le plus important.

 

Depuis que les Etats-Unis dirigent le monde, le fric a asservi toutes nos valeurs et tous ceux qui défendent d’autres valeurs sont des terroristes qu’il faut abattre.

 

Peuple américain, délivre-nous des irresponsables qui te gouvernent pour sauvegarder notre planète.

La légitimité du droit d’ingérence

 

Où le droit d’ingérence de la communauté internationale serait-il le plus légitime ? Au Moyen-Orient où l’affrontement israélo-palestinien dure depuis près de 59 ans sans qu’aucune instance internationale n’intervienne. Ce conflit gangrène toute la région, exacerbe les fanatismes et menace la stabilité mondiale. Le cycle violence – répression – humiliation accable dramatiquement les populations civiles. Alors, comment l’ONU, responsable de la création de l’Etat hébreu ne s’est-elle pas donnée les moyens d’imposer un règlement ?

Les Etats-Unis qui opposent systématiquement leur véto à toute résolution ou sanction contre Israel musèlent l’ONU et la communauté internationale.

Détruire le Liban au prétexte de libérer deux soldats est une avanie que seuls les Etats-Unis approuvent. Cette hyper-puissance, dont l’arrogance est proportionnelle à l’errance dramatique de sa politique étrangère, phagocyte toute velléité de résolutions. Le gouvernement israélien, conforté par son indéfectible et puissant allié, perd tout sens de la mesure, s’enferme dans ses certitudes, n’accepte plus aucune critique et ne voit le salut que dans l’option des armes.

Le Premier ministre israëlien, Yitzhak Rabin, avait compris que la paix ne passe pas par les armes. En 1995, un fanatique juif lui a fait payer sa courageuse quête de la paix.

Aujourd’hui, le droit d’ingérence devrait s’exercer pour imposer un cessez-le-feu et contraindre les deux parties à négocier un règlement inspiré par la démarche du « plan de Genève ».

L’hystérie militaire

L’hystérie militariste.

Les dépenses militaires mondiales ont atteint en 2005 un niveau record de 1118 milliards de dollars ( 1.400.000.000.000.- Francs suisses ) soit un million quatre cent mille millions dont la moitié revient à l’hyperpuissance américaine.

Dans un monde, où la perspective d’une guerre mondiale s’est éloignée depuis la chute du communisme, cette escalade militaire est incompréhensible et absurde. Et, ce n’est pas l’argument récurrent et obsessionnel de la guerre au terrorisme qui peut justifier une telle dérive sécuritaire. L’instrumentalisation du terrorisme permet la mise en place de structures de contrôle et de répression des peuples en leur donnant l’illusion de les défendre contre la nouvelle forme du diable, Al Quaïda. Le terrorisme a toujours existé et continuera d’exister car il est le fait d’une infime minorité d’exaltés. On peut même s’étonner que l’humiliation et l’asservissement du monde musulman n’engendrent pas plus de terrorisme. Depuis les attentats du 11 septembre 2001 ( dont on ne connaît pas les commanditaires et qui n’ont pas fait l’objet d inculpations sérieuses ) le nombre d’actes terroristes est insignifiant et résulte principalement de l’intervention et de l’occupation irresponsable et illégitime de l’Irak. Les innombrables et réguliers « coup de filet » dans les milieux islamistes dans tous les pays du monde servent à maintenir la pression sécuritaire. Cependant,la plupart des inculpations se dégonflent comme une baudruche et les « présumés-terroristes » sont discrètement remis en liberté (comme l’ « instigateur présumé » de l’attentat de Bali ) . Les résultats de la traque des réseaux financiers du terrorisme se sont révélés insignifiants. Ben Laden a été transformé en une marionnette que les médias ressortent régulièrement de sa boîte avec une vidéo bidonnée ou un message Internet « non identifié mais de source fiable » !!. Cet emblème du Mal Absolu sert d’épouvantail pour entretenir le délire sécuritaire.

La Suisse n’y échappe pas. M. Samuel Schmidt, conseiller fédéral en charge des affaires militaires, se sert du spectre du terrorisme pour justifier une augmentation des dépenses militaires. La « révélation » d’un projet d’attentat sur un avion israélien est tellement opportune qu’elle en devient peu crédible. Quand retrouverons- nous la mesure et le bon-sens pour nous libérer du carcan sécuritaire dans lequel le nouvel ordre mondial essaie de nous enfermer ?

L’arrière-gauche de la Trinité et Tobago

L’arrière-gauche de la Trinité et Tobago

« Carton rouge », le livre du journaliste anglais Andrew Jenning sur les magouilles financières de la FIFA et du CIO , s’est vu frappé d’interdiction en Suisse !!!. Devrait-on comprendre que notre pays, qui abrite ces organisations, veut occulter les commissions, les pots-de-vin et les tricheries qui gangrènent le sport-fric ?

La plupart des milieux journalistiques étaient pourtant« montés aux barricades »,au nom de la liberté d’expression, pour s’opposer à la censure des pitoyables caricatures de Mahomet. Pourquoi restent-ils silencieux devant cette scandaleuse censure ? Faudrait-il comprendre que le football ,devenu la nouvelle religion mondiale, est intouchable ? Les grands acteurs de l’économie mondiale l’ont bien compris et sponsorisent la grand- messe du foot. Ils ont compris l’intérêt de se rapprocher du « peuple » pour atténuer leur image de mondialistes voraces.

Le foot, c’est l’opium du peuple, c’est l’exutoire de la frustration sociale et c’est l’exacerbation d’un nationalisme primaire. Les empereurs romains avaient bien compris qu’il fallait offrir au peuple du pain et des jeux ( auxquels il faut ajouter aujourd’hui la bière et les filles de l’Est) pour qu’il se tienne tranquille. La paninimania s’est emparée de tous nos écoliers qui encombrent leurs neurones à retenir le nom de l’arrière-gauche de la Trinité et Tobago.

La télévision va orchestrer ce grand raout mondial. Tout le monde sera « scotché » devant son écran pour voir deux équipes favorites faire un match nul convenu d’avance pour éliminer un outsider. On finira par souhaiter que l’arrière-gauche de la Trinité et Tobago inscrive sur un coup de tête, à la dernière minute, le but qui qualifiera son équipe en finale du Mondial. Une finale « Suisse – Trinité et Tobago », quelle belle affiche ! Allez « Hop Suisse ».

 

C.P.E

C.P.E

Obnubilés par la « grandeur » de la France et de son influence dans le monde, les médias français ne savent plus porter un regard objectif sur eux-mêmes et ignorent dédaigneusement les expériences hors de l’Hexagone. Si ils avaient les capacités de sortir de leur introversion franco-française, ils s’apercevraient du spectacle affligeant et pathétique donné par la dernière crise du C.P.E.

Le lycéen à qui on prête une maturité politique exceptionnelle, descend dans la rue dans une allégresse post-pubertaire pour faire sa première manif. Les étudiants qui aspirent majoritairement une planque dans la fonction publique soignent leur ego en se prenant pour des tribuns révolutionnaires. Les chefs syndicalistes qui ne représentent pratiquement personne, se servent de la contestation pour parader devant les caméras de télévision. Le grand patronat qui préférait par principe une « juteuse » délocalisation au C.P.E se terre dans le silence et ne soutient pas le gouvernement. M. Sarkozy qui glisse des peaux de banane sous les pieds de M. de Villepin, ne pense qu’à la chute de son rival. Les présidentiables de la gauche-caviar, qui n’ont rien à proposer, descendent dans la rue pour raccrocher le wagon de la « révolution ».

L’absurde mise en scène par les médias de cette politique politicienne est lamentable et ne fait qu’attiser les conflits. Les micro-trottoirs tendancieux, les sondages-bidon, le choix des images-choc contribuent à manipuler l’opinion publique.

Les médias orchestrent depuis deux ans une campagne présidentielle obsessionnelle et perverse avec trahison, adhésion, reculade, ultimatum, invectives, petites phrases, sondage bidon sur la popularité des présidentiables. Ce spectacle malsain transforme les hommes politiques en marionnettes et ne débouche que sur des affrontements verbaux dont la grandiloquence est directement proportionnelle à leur stérilité.

Une pause-café à 3.500.- Fr.

Une pause-café à 3.500.- Fr.

La rémunération annuelle ( salaire ,primes ,options ) de M. Marcel OSPEL, président du conseil d’administration de l’UBS se monte à Fr. 31.000.000.-.Cela porte la pause-café de 15 minutes à Fr 3500.- , salaire mensuel d’un grand nombre de personnes. Propos démagogiques et racoleurs , peut-être , mais révélateurs d’une inadéquation avec n’importe quel critère logique et de bon-sens. Les diplômes, les compétences, l’intelligence, l’intuition ou les responsabilités ne peuvent pas justifier un tel salaire. Celui-ci est, dit-on, en relation avec les résultats de l’entreprise. Si tel est le cas, il faut expliquer pourquoi les dirigeants de Swissair se sont vus attribuer des parachutes dorés après le désastre de l’entreprise ? Et, pourquoi un prédécesseur de M. OSPEL a perçu, au début des années 90, des millions après une perte de plusieurs milliards due à des prêts délirants à des spéculateurs immobiliers ? La corrélation entre les résultats et les rémunérations n’est donc pas crédible. L’explication doit se trouver ailleurs. Les dirigeants de ces entreprises sont des interlocuteurs privilégiés et incontournables des grands décideurs de la planète ( hommes politiques, multinationales, grands financiers et médias ) et sont aussi des intermédiaires dans des affaires dont la couleur n’est pas toujours ultrablanche, tels que la fiscalité internationale, les délits d’initiés, les pots de vins, la corruption politique, les trafics d’armes et autres. Ces produits financiers « troubles » nécessitant beaucoup de doigté et de discrétion, celui qui les gère, acquiert auprès de ses employeurs un position dominante . Ses prétentions salariales seront à la hauteur de son degré d’influence et de ses implications dans ces dossiers sensibles . Dans ce cas-là, la fidélité et la discrétion n’ont pas de prix.

Le tribunal de la Honte

Le tribunal de la Honte

Les explications pitoyables du Tribunal de la Haye sur la mort de M. Slobodan MILOSEVIC jettent un discrédit total sur cette arrogante « justice » d’inspiration anglo-saxonne. Suicide, crise cardiaque ou empoisonnement à choix. Une chose est sûre : la mort est due à « un arrêt cardiaque» dixit Carla del Ponte ( des fois qu’il serait mort d’une entorse à la cheville ). Une autre chose est sûre : le tribunal lui a refusé des soins. Cela s’appelle un assassinat passif. De toutes les façons, ce tribunal instrumentalisé et inféodé aux Etats-Unis l’avait déjà inéluctablement condamné et ses milles cinq cent fonctionnaires étaient en service commandé pour instruire uniquement à charge le bouc émissaire de la tragédie yougoslave et justifier la guerre du Kosovo dirigé depuis peu par un ancien terroriste de U.C.K. !!!

Après avoir été élu démocratiquement à la tête de la Serbie, M. MILOSEVIC aura été broyé par l’Histoire. La chute du mur de Berlin a marqué la fin du communisme. L’Occident triomphant n’a pas pu tolérer que le modèle yougoslave perdure et a ouvert la boîte de Pandore en encourageant les indépendantistes et en ravivant les haines. Pour s’être opposé au démantèlement irresponsable de son pays, il a été diabolisé et accusé de génocide et d’épuration ethnique. Où sont les génocides ? Où est l’épuration ethnique ? si ce n’est l’exode des Serbes de Croatie (200.000 personnes) et du Kosovo ( 200.000 personnes) sous les yeux bienveillants des soldats de l’OTAN. Le tribunal, pour soutenir l’accusation de génocide , en est réduit à s’accrocher aux obscures événements de Srebreniza.

Le tribunal, par la voix de sa présidente Carla del Ponte, regrette de ne plus pouvoir le juger . Quelle hypocrisie !!! Cette mort évitera à ce tribunal l’enlisement et le ridicule et MILOSEVIC restera ,dans la conscience publique ,un bourreau et une brute sanguinaire. Les médias occidentaux ne feront jamais leur autocritique sur les énormes mensonges qu’ils ont distillés quotidiennement pendant l’intervention au Kosovo. Une page d’histoire va se tourner sans que la Vérité ne soit faite.

En Irak aussi, les protagonistes de l’effroyable, de l’irresponsable et de l’imbécile croisade des forces du « Bien » souhaitent secrètement qu’un « arrêt cardiaque » interrompe le procès de Saddam HUSSEIN qui ne pourrait que mettre en évidence la manipulation, les mensonges et le cynisme.