Tous les articles par Daniel Fortis

De l’inertie à l’hystérie

2001 – 2010 : de l’inertie à l’hystérie.

  

Un épisode de l’hystérie anti-terroriste a échappé à notre presse locale. Le 7 avril 2010, durant le vol Washington – Denver, le steward a averti le policier embarqué qu’une odeur de fumée se dégageait des toilettes. Un diplomate qatari, qui avait fumé une cigarette, en est sorti. Interrogé par le policier, il a ironisé en déclarant qu’il tentait de mettre le feu à ses chaussures. Devant cette « menace terroriste », le pandore l’a plaqué au sol et a alerté la tour de contrôle. La sécurité a immédiatement fait décoller deux chasseurs F16 pour escorter l’avion. Quelle efficacité et quelle réactivité !! Cela n’a pas été toujours le cas. Le 11 septembre 2001 à 8h 13,   alerte de détournement d’avions . A 8h 45, crash d’un avion sur la première tour du WTC. A 9h 03, crash d’un deuxième avion sur la deuxième tour. A 9h 37, crash d’un prétendu avion sur le Pentagone. Pendant une heure et 23 minutes, aucun chasseur de l’armée américaine n’a décollé. Hypnotisés devant leurs télévisions qui transmettaient en direct les événements, les commandants de l’armée la plus puissante du monde n’ont pas jugé nécessaire de déclencher l’alerte ! Cette incompréhensible et coupable inertie et ce dysfonctionnement majeur n’ont pas été relevés dans l’enquête officielle et les responsables de ce « ratage » n’ont même pas été sanctionnés. Ce sont peut-être les mêmes responsables qui ont fait décoller deux F16 le 7 avril pour une plaisanterie déplacée ! Comment peut-on rester sans interrogation sur l’invraisemblable version de l’enquête sur le 11 septembre 2001 ?

Une période MOSSAD

Une période Mossad

  

Onze agents du MOSSAD ont participé à l’assassinat d’un dirigeant du HAMAS dans un hôtel à DUBAI. Considérés presque comme des « héros », ils ont eu droit à leur photo dans la T.G du 17 février 2010. Cette opération de « nettoyage » est rapportée avec un brin d’admiration pour l’efficacité des services secrets israéliens. Le commanditaire, l’Etat d’Israël, n’est critiqué que pour l’emploi abusif de passeports étrangers pour ses barbouzes. Inversons maintenant les rôles. Un Palestinien dont le fils a été tué dans son école à Gaza en 2009 par l’aviation israélienne, se fait exploser au milieu d’un groupe de pilotes de chasse israélienne. Quelle sera la réaction de la presse occidentale ? L’indignation, la condamnation de la lâcheté de cet acte terroriste (à comparer au courage des onze agents du MOSSAD !!!) et un regain d’islamophobie. Israël s’autorisera, en toute impunité, une réplique cinglante où les morts palestiniens ne compteront pas ou si peu. Les pays occidentaux, se réclamant pourtant des Etats de droit, légitimeront cette réplique comme ils légitiment ce lâche assassinat.

 

 

Menace terroriste : la piqure de rappel

Menace terroriste : la piqure de rappel.

 

  

Tous les six mois environ, un scénario d’attentat est proposé au grand public. Une piqure de rappel pour entretenir l’hystérie antiterroriste. Après le terroriste au semelle explosive, après le bioterroriste de seize ans qui envisageait d’empoisonner le réseau d’eau de Londres, après les huit médecins- terroristes , après les vingt-cinq terroristes « à l’eau explosive » qui voulaient faire exploser dix avions en même temps (vingt-et-un ont été libérés sans charge et les quatre restants auraient eu la mission de détruire dix avions simultanément !!!.). Le dernier scénario proposé : un brillant étudiant nigérian qui bricole un attentat digne des Pieds Nickelés. A la vue de tous les passagers, il traficote sur ses genoux de la poudre et de l’acide pour faire exploser l’avion. Résultat : des brûlures aux jambes. Selon l’administration américaine, ce pitoyable ratage a été revendiqué par Al-Quaïda !!. Absurde. Quelle meilleure démonstration de leur incapacité !. Si cette nébuleuse existait, elle choisirait d’autres lieux pour leurs attentats que des aéroports hypersécurisés. Les trains, par exemple. N’avons-nous pas vu l’arrestation de dix dangereux bobo-gaucho-écolo-terroristes en France qui projetaient de saboter des TGV ? Ces dangereux terroristes qui tenaient une épicerie au plateau de Millevaches dans le Tarmac ont tous été discrètement libérés. Jusqu’à quand devrons- nous subir ces manipulations ?

 

 

La pantalonnade de Copenhague

La pantalonnade de Copenhague

  

Au grand soulagement des lobbys du pétrole, de l’industrie, des armes et de la finance, la conférence de Copenhague n’a accouché que de vagues et pitoyables promesses. Ces lobbys qui noyautent et régentent toute la planète ont gagné. Ils sont parvenus avec des pressions et du chantage à « retourner » le président OBAMA. Confortés par des négationnistes comme Claude Allègre, ces intégristes du libéralisme ne supportent pas que la moindre contrainte puisse entraver leur grand Monopoly. Obnubilés par la croissance, la consommation et surtout, le profit, ils ne peuvent et ne veulent pas imaginer un monde différent. Leur autisme et leur cynisme nous exposent à des risques de catastrophes planétaires. A l’image de la conférence de Munich en 1938 où la politique de l’autruche et la lâcheté avaient conduit à la catastrophe, la conférence de Copenhague, pour les mêmes raisons, est une pantalonnade où ont prévalu l’égoïsme, la cupidité et l’irresponsabilité.

Les racines de l’islamophobie

Les racines de l’islamophobie

  

Selon un rapport du Sénat américain, l’administration Bush a intentionnellement laissé s’échapper Ben Laden lors de l’invasion de l’Afghanistan en 2001 !!

 

Comment expliquer que l’administration américaine n’ait pas voulu poser quelques questions au chef d’Al Quaïda ?.L’arrestation de Ben Laden était certainement trop embarrassante. Son interrogatoire aurait démontré qu’il n’était pas le commanditaire des attentats du 11 septembre et que Al-Quaïda n’était qu’une invention des services secrets américains. L’immatérialité de cette organisation et l’évasion de son chef l’ont transformé en une nébuleuse . L’avantage d’une nébuleuse, c‘est qu’elle est, à la fois, nulle part et partout. Ne pouvant pas identifier la menace, une peur irrationnelle a saisi le monde entier et tous les Musulmans sont devenus des terroristes potentiels.L’énorme manipulation , dont fait partie la version officielle des « attentats » du 11 septembre 2001, a totalement réussi et instillé   l’islamophobie dans le monde entier. La dramatique votation des Suisses sur les minarets en est la preuve. Le pays a renié toutes ses valeurs et est devenu un contre-exemple pour la communauté internationale qui le considérait jusqu’alors comme un modèle.

L éviction de GORBATCHEV

L’éviction de GORBATCHEV.

 

  

L’Europe a fêté avec magnificence la chute du mur de Berlin. Sur l’avant-scène, l’omniprésent SARKOZY (qui, se levant le 9 novembre 1989 fut le seul à anticiper cet événement historique !) paradait. En arrière-plan, sur un « strapontin », Mikhaïl GORBATCHEV écoutait ceux qui lui volaient le mérite de cette libéralisation. Son action admirable pour desserrer, sans effusion de sang, l’étau du totalitarisme communiste n’a jamais été reconnu. Pire, dans les deux ans qui ont suivi la chute du mur, tous les pays occidentaux et le Fond monétaire international ont tout fait pour écarter GORBATCHEV du pouvoir. Le capitalisme triomphant voulait le démantèlement de l’URSS et la privatisation des entreprises russes. Pour parvenir à leurs fins, les Occidentaux ont préféré une marionnette avinée, Boris ELTSINE. Celui-ci, aveuglé par le mirage de la société de consommation, a démantelé son pays, ses valeurs sociales et bradé à ses petits copains les fleurons de l’industrie russe avec la bénédiction des milieux financiers occidentaux. Le rendez-vous avec l’Histoire a été manqué en imposant du jour au lendemain, un nouveau totalitarisme, celui du capitalisme.

 

 

La conquête lunaire en question

La conquête lunaire en question.

  

Le courrier de mon honorable contradicteur « Délires révisionnistes » paru dans la TG du 5 septembre prend à partie les personnes qui doutent de la véracité de la conquête lunaire. Arguments avancés : Les ingénieurs russes n’ont pas émis de doutes sur l’exploit américain et les dizaines de milliers d’ingénieurs de la NASA n’ont pas pu être complices d’une telle supercherie. En réponse à cette argumentation : le silence des scientifiques russes relève de la solidarité qui lie la communauté scientifique au-delà des nationalités. Les succès magnifiés, les échecs occultés, les falsifications des résultats pour obtenir des budgets font partie des pratiques de cette corporation. Cette solidarité s’explique aussi par le fait que de nombreux savants américains et russes étaient d’anciens experts en fusées du troisième Reich. Les Russes n’avaient pas intérêt à dénoncer toutes les incohérences de cette épopée lunaire au risque de voir leur propres « ratages » dévoilés publiquement, de paraître comme de mauvais perdants et de discréditer toute la communauté scientifique et la recherche spatiale. Concernant la complicité des milliers d’ingénieurs autour de cette supercherie, il n’est   aucunement question de mettre en doute leur honnêteté. Ils ont tous travaillé dans des domaines spécifiques soigneusement cloisonnés. Seuls les « coordinateurs » de ces recherches étaient au courant de la finalité de celles-ci. Concernant l’adhésion du monde entier à cette fabuleuse aventure mythique, il suffit de marteler en permanence un mensonge pour qu’il devienne une vérité. N’a-t-on pas vu l’administration Bush et l’ensemble des médias américains répéter à satiété   que l’Irak détenait des armes de destruction massive pour transformer un énorme mensonge en   « vérité » ? Ils ont manipulé la majorité des Américains et diabolisé les «délires révisionnistes». L’Histoire les a finalement confondu.

 

 

Les preuves irréfutables de la NASA

Les preuves « irréfutables » de la NASA.

  

LE Temps du 20 juillet a publié une photo de la surface lunaire constellée de cratéres et un point microscopique indéfinissable que les spécialistes de la NASA ont identifié comme le LEM de la mission Apollo 14 . Il aura donc fallu 40 ans pour apporter cette preuve « irréfutable » ! La faiblesse de celle-ci renforce la suspicion et conforte la théorie de la fiction cinématographique.

L’incroyable et fabuleuse épopée du 20 juillet 1969 est devenue un mythe « intouchable » que se sont approprié les gens   pour devenir un des repères de leur vie. Les six missions qui ont suivi jusqu’en 1972 ont donné l’impression d’une telle maîtrise technique qu’elles se sont déroulées dans l’indifférence générale. Quarante ans après, pour mettre simplement en orbite autour de la terre la navette Endeavour, il aura fallu six tentatives problématiques de décollage depuis le 13 juin. Les ingénieurs de la NASA auraient-ils « perdu la main » malgré les formidables progrès technologiques et informatiques ( souvenez-vous de la taille des ordinateurs en 1969 !!!). La confiance des ingénieurs de la NASA    à l’époque était sans limite. Une semaine avant l’exploit,ils avaient fait du marketing auprès de toutes les télévisions pour préparer les journalistes à cette superproduction cinématographique ( voir Le Temps du 15 juillet Témoignage de Georges KLEINMANN)

Toutes ces incohérences s’ajoutent à celles des photos   perdues, retrouvées et enfin remasterisées. La discrétion et les parcours de vie cahotiques des protagonistes de   cette épopée ainsi que l’incompréhensible désintéret à exploiter le potentiel de la lune pendant 40 ans restent aussi des énigmes. Malgré toutes ces questions sans réponse, personne n’est prêt à remettre en doute la véracité de cette aventure mythique

La dérobade suspecte de Barak Obama

La dérobade suspecte de Barak Obama

  

En contradiction avec ses engagements de campagne et en rupture avec sa courageuse politique des droits de l’homme, le nouveau président a rétabli les tribunaux militaires spéciaux à Guantanamo. Ceux-ci ne devraient servir qu’à l’inculpation et la condamnation programmée d’une vingtaine de détenus sur les 800 « dangereux terroristes » incarcérés. Ils tenteront d’arracher des aveux à des prisonniers détruits physiquement et mentalement par des années d’incarcération et de tortures. Quelle raison peut justifier une telle justice ?. Très certainement, la raison d’Etat. L’implication totale des Etats-Unis dans la soi-disant lutte antiterroriste depuis le 11 septembre 2001 a profondément bouleversé nos valeurs et façonné un nouvel ordre mondial « sécurisé ». Au fil des années, le danger terroriste « type Ben Laden » s’avère avoir été une duperie manipulatrice. Pour ne pas être déjugé par l’Histoire, le gouvernement américain doit absolument dénicher d’obscures coupables. Ainsi, Khaled Cheikh Mohammed, (180 séances de simulation de noyade) sera jugé pour avoir organisé les attentats du 11 septembre. Qui peut croire une telle fable ? Son procès à huit clos ne peut être qu’une parodie de justice qui ne servira qu’à conforter la version controversée des attentats du 11 septembre 2001

Durban II

Durban II : des questions en suspens.

  

La suppression de toutes mentions à Israël dans le texte   final de la conférence n’aura pas suffit à éviter le boycott et les atermoiements ridicules des pays européens. Il aura fallu les propos explosifs d’Ahmadinejad sur le racisme du gouvernement israélien pour justifier à posteriori leur désistement. Parmi tous les propos outranciers et scandaleux du président iranien, son dernier discours était le moins inaceptable. En effet, le gouvernement israélien, n’établit-il pas un statut de citoyenneté discriminatoire envers les Arabes ?. Ne pratique-t-il pas une politique d’expulsion, de colonisation et d’annexion au détriment des Palestiniens ? Ne confisque t-il pas un droit fondamental en s’opposant à la création d’un Etat palestinien ? N’abrite-t-il pas un ministre des Affaires Etrangères qui prêche l’expulsion des Arabes et l’avènement du Grand Israël ethniquement pur ? Ces questions sensibles méritent des réponses.   Et ce n’est pas le départ théâtral des représentants occidentaux durant le discours d’Ahmadinejad, ni l’humiliation de la Suisse par le rappel de l’ambassadeur israélien qui éluderont ces questions