Archives de catégorie : 11septembre

Rétablir la vérité et l’espoir

Quelques jours après les événements du 11 septembre 2001, sans aucune enquête, Ben Laden , Al –Qaeda et les talibans étaient désignés comme les responsables.  Sans revendication , sans preuve , sans témoignage crédible , les Etats-Unis ont  arbitrairement  décidé d’envahir  l’Afghanistan . Une guerre de vingt ans,  mille milliards de dollars, des centaines de milliers de morts et, au final, un échec total. Ben Laden a été introuvable. Les bases secrètes d’Al- Qaeda se sont révélées des grottes. Les abominables  terroristes n’étaient que des barbus qui ne savaient pas ce qui s’était passé le 11 septembre . Enfermés et torturés à Guantanamo, ils ont été libérés sans charge ni procès.  Avec le retrait de l’armée américaine, Joe Biden tente de dissimuler cet immense gâchis en proclamant  que la mission est remplie avec l’élimination  des responsables du 11 septembre .  Dans quelques jours, la commémoration de cette tragédie devrait être l’occasion de dénoncer la falsification et l’instrumentalisation des faits. A cette occasion, le président américain s’est engagé à déclassifier des documents  impliquant  l’Arabie saoudite  dans la préparation des attentats. Dans l’enquête, une trentaine de pages a été censurée  pour conforter la version officielle et pour protéger l’allié saoudien. Cette enquête, réclamée  par les parents des victimes, n’est  qu’un florilège d’inepties scientifiques et de dissimulations  derrière le secret défense. Joe Biden aura-t-il  le courage de la transparence  pour restaurer l’image des Etats-Unis ? Le rétablissement de la vérité donnerait aussi une chance à la paix et au respect des promesses d’ouverture des nouveaux  dirigeants afghans.

Daniel Fortis

1231 Conches                                                                                                           Genève,  le 20 août 2021

Le 11 septembre 2001 vu sous un autre angle

LA FACE OBSCURE DE L’HISTOIRE DES TOURS  JUMELLES.

1962  Concours d’architectes lancé par le propriétaire foncier (Port  Authority )

1970  Fin des travaux du WTC 1   Coût des travaux : 450 millions de dollars.

1971  Fin des travaux du WTC 2.  Coût des travaux : 450 millions de dollars.

1970  Introduction d’une loi Interdisant l’amiante pour les nouveaux projets.

1976  Loi promulguant l’obligation du désamiantage (devisé à 1 milliard de dollars pour les tours)

1980 – 2001 La conception des tours est  problématique ( isolation thermique, informatique,  bureautique et le désamiantage ). Les vacances des surfaces de bureaux pèsent  financièrement.

Début 2001 Mise en vente des deux tours . Seuls deux candidats se manifestent.

24 juillet 2001 ( 48 jours avant le drame )  M. Silverstein signe le droit de bail des deux tours sur 99 ans pour la somme astronomique de 3,2 milliard de dollars avec des fonds propres de 18 millions de dollars !!.

Début août 2001 ( 40 jours avant le drame)  M. Silverstein demande à l’assurance de rajouter une clause spécifique en cas d’attentat pour  2,3 milliard de dollars.

Le 11 septembre 2001, les deux tours sont percutées par des avions à  8h 46 et  à 9h 03 et s’effondrent sur elles-mêmes  à 9h58 et 10h28 à la vitesse de la chute libre ( 12 secondes)

A 17h25 le WTC 7, lui aussi propriété de M. Silverstein, s’effondre sur lui-même en 7 secondes  ( vitesse de la chute libre) après quelques incendies internes sans impact d’avions.

L’effondrement des deux tours provoque la mort de 2753 personnes et est à l’origine d’une catastrophe sanitaire à l’amiante qui a touché  37000 personnes.

A la suite du drame, M. Silverstein réclame à son assurance un dédommagement de 4,6 milliard (2 attentats) et  3,5 milliard à la compagnie d’aviation  pour défaut à la sécurité. Débouté sur ce dernier point, il devra se contenter de 4,6 milliard.

CONCLUSIONS ( financières)

L’ancien propriétaire ( Port Authority ) s’est débarrassé de deux tours problématiques pour une somme extravagante de 3,2 Milliards en se déchargeant du problème de l’amiante.

Le nouveau propriétaire ( M. Silverstein ) a été dédommagé de 4,6 milliard. Il a réalisé ainsi un bénéfice de 1,4 milliard, tout en résolvant le problème du désamiantage.

Daniel Fortis                                                        Genève,  le 1er novembre 2018

Notre-Dame et la version de 9-11

Décidément les lois de la physique sont différentes selon que l’on se retrouve d’un côté ou de l’autre côté de l’Atlantique.

Le 11 septembre 2001 , les 46 étages du WTC 7 (  structure métallique dont la température de fusion est de 1600 degré !) a été pulvérisé en 6,5 sec à la suite d’incendies éparses dans quelques étages.

Le 16 avril 2019, l’échafaudage de la cathédrale Notre-Dame (en aluminium dont la température de fusion est de 700 degrés) est intact après un embrasement total pendant plusieurs heures ( voir photo ).

Qui peut croire encore dans la version officielle du 11 septembre ?

Des vidéos problématiques de la nouvelle censure

La presse nous a informés que You Tube ne donnera plus de visibilité aux vidéos « problématiques ». La définition de celles-ci est très vague et est laissée à l’appréciation de censeurs autoproclamés ou d’algorithmes . Elle peut aller de la publicité de médicaments-miracle pour de graves maladies à l’affirmation que la Terre est plate en passant par les théories dites complotistes. L’amalgame qui est fait entre un farfelu qui prétend que la Terre est plate et des milliers de scientifiques, architectes et ingénieurs qui doutent des conclusions de l’enquête officielle sur le 11 septembre est ridicule. Ainsi, toutes les personnes qui manifestent des réserves sur des déclarations officielles seront traitées de complotistes et leurs propos seront censurés. Dorénavant , les mensonges d’Etat comme ceux de l’administration américaine en 2003 sur les armes de destruction massive irakiennes ne pourront plus être dénoncés sans s’exposer à être traité de complotiste. Il est stupéfiant que ce nouveau type de censure soit expérimenté aux Etats-Unis dont le président a été élu à la suite d’un complot utilisant des fake news . Cette censure est cependant à géométrie variable quand elle autorise ce même président à parler d’un complot écolo-gauchiste sur l’urgence climatique ou quand elle permet à des charlatans évangélistes de prêcher que la Terre a six mille ans et de dénoncer le complot darwinien. Nos sociétés ne sont pas loin d’un monde décrit par Georges Orwell où la liberté d’opinions est conditionnée à l’adhésion à  un Ordre public Suprême consacrant l’abrutissement de l’individu.

 

Daniel Fortis

1231 Conches                                                                                                   31 janvier 2019

Une légion d’imbéciles

Dans un article sur les complotistes (TdG du 22 octobre), votre journaliste qualifie ceux-ci de « légion d’imbéciles à la tête embrouillée ». Elle stigmatise sans nuance et avec un amalgame grossier  tous ceux qui posent des questions sur la fragilité de certaines versions officielles. De tout temps, les complots ont façonné l’Histoire. Napoléon disait « l’Histoire est une suite de mensonges sur lesquels tout le monde est d’accord ». A tous les niveaux, les complots existent .  Ainsi, l’acharnement disproportionné contre Pierre Maudet s’apparente à un mini-complot médiatico-politique. A une autre échelle, le complot avéré de l’administration américaine sur les armes de destruction massive irakienne a engendré le chaos. Votre journaliste considère-t-elle que ceux qui réfutaient ces mensonges étaient de débiles complotistes ? Les complots peuvent aussi se trouver dans un traitement médiatique biaisé. Une étude de l’université d’Alabama parue le 20 juillet démontre qu’aux Etats-Unis un attentat islamiste fait sept fois plus les gros titres qu’un attentat blanc et d’extrême-droite (alors que ceux-ci sont deux fois plus nombreux que les attentats islamistes). Qui se souvient de l’attentat le plus meurtrier aux Etats-Unis après celui du 11 septembre ?  C’est  un attentat d’extrême-droite perpétré à Oklahoma en 1995 qui a fait 168 morts et 680 blessés. Quant à l’attentat des tours jumelles attribué aux islamistes, il nous est rappelé en permanence pour justifier la guerre  contre le terrorisme. Pourtant, de nombreuses  zones d’ombre subsistent. Des milliers d’architectes et d’ingénieurs américains ont demandé la réouverture de l’enquête pour dissiper les inepties de l’enquête officielle. Votre journaliste se considère-t-elle plus compétente et autorisée de traiter d’»embrouillés de la tête » ceux qui recherchent la vérité?

 

 

 

Daniel Fortis

1231 Conches                                                                                               Genève,  24 octobre 2018

Des comparaisons dérangeantes

En préambule

Mon article est une analyse comparative de scientifique entre deux tragédies que tout sépare. Mon analyse « froide » ne porte que sur les aspects techniques des incendies et de leurs conséquences matérielles. Il m’a été reproché  de verser dans le « complotisme » en éludant la souffrance humaine. C’est justement , au nom des victimes et de ceux qui restent dans la souffrance, qu’il faut rechercher la vérité . Il ne faut pas se contenter d’explications approximatives et d’apitoiement ostensible.

 

Article

Les images dramatiques de l’incendie de Londres, le 14 juin, ravivent le douloureux souvenir des attentats du 11 septembre 2001. Ce jour-là,  deux tours de 120 étages se sont effondrées et pulvérisées en quelques secondes après des incendies délimités qui ont duré une heure après l’impact des  avions. Dans l’après-midi de ce même jour, un troisième immeuble de 46 étages, le World Center 7 , a subi ( sans avoir été atteint par des avions) , de façon inexpliquée, des feux ponctuels dans divers étages. A 17h 25, cet immeuble,  s’est pulvérisé en 7 secondes (à la vitesse de la chute libre) dans un effondrement symétrique et centralisé. La stupéfiante conclusion de l’enquête de l’administration américaine est que « l’effondrement est dû aux incendies ».

Ce qui s’est passé à Londres le 14 juin nous apporte la preuve que cette conclusion est une ineptie. Alors que les 27 étages de l’immeuble londonien se sont transformés en une immense torche ardente pendant toute une nuit, le lendemain, la structure entièrement calcinée était intacte. Cela confirme que, depuis que l’Homme construit des immeubles en béton et en acier, il n’existe pas un seul cas dans le monde où un incendie a eu comme conséquence un effondrement total  en quelques secondes. La communauté scientifique et , plus particulièrement, les ingénieurs civils et les spécialistes en démolition assistée ne sont pas dupes. Ils savent qu’une intervention extérieure a provoqué l’effondrement du World Center 7. Cependant, ils se taisent car ils craignent la mise au ban et l’opprobre général réservés aux « complotistes ». En effet, il ne faut pas toucher au mythe fondateur de la nouvelle forme de gouvernance planétaire appelée la terrocratie.

 

Daniel Fortis – ingénieur civil EPFZ

1231  Conches                                                                                        Genève,  le 17 juin 2017

 

La vérité pas à pas

Il aura fallu quinze ans pour que les familles des victimes des attentats du 11 septembre 2001  soient autorisées à poursuivre l’Arabie saoudite en justice ( TdG du 30 septembre 2016).  L’administration américaine  a toujours fait obstruction à la recherche de la vérité. Elle a fait disparaître vingt-huit pages de l’enquête officielle sur l’implication du régime saoudien. Alors que tout l’espace aérien américain était interdit, deux avions ont pu décoller pour rapatrier les familles princières saoudiennes ( dont celles de Ben Laden) vers Riyad deux jours après les attentats. Cette confiscation de la vérité s’est confirmée par le refus obstiné de l’administration Bush à ouvrir une enquête sur les attentats pendant plus d’une année. Cette enquête, essentielle pour comprendre les ratés des services secrets, l’inertie de l’armée, l’impuissance des pompiers et les disfonctionnements des services de sécurité, était primordiale pour éviter un autre drame. Il aura fallu, aussi , que les familles des victimes réclament cette enquête. Elle a été initiée à contre-cœur par l’administration et a débouché sur un document plein d’incohérences et d’inepsies scientifiques. De l’avis de leurs auteurs, ils n’ont eu ni le temps, ni l’argent, ni la coopération des services pour élaborer des conclusions crédibles. La vérité sera longue à établir mais, comme l’huile, elle finira toujours par remonter à la surface de l’eau.

 

Daniel Fortis

1231 Conches                                                                                                          2  octobre  2016

Attentat de Munich: un cas d’école.

Si la science de la désinformation était enseignée, l’attentat de Munich serait un cas d’école. Juste après la tuerie, les chaînes dites d’informations martèllent la version de l’attentat  islamiste perpétré par trois djihadistes. Immédiatement, les présidents Obama et Hollande dénonce cette barbarie et  envoie à Angela Merkel un message de soutien. Mais, patatra ! Le lendemain, la police allemande révèle que l’auteur est un seul individu radicalisé non pas par un imam mais par les discours islamophobes de Breivik. Celui-ci avait massacré, il y a cinq ans, septante-sept jeunes norvégiens au nom de la  défense de l’Occident chrétien contre « l’ invasion » islamiste. A l’époque, toute la presse avait aussi titré dans un premier temps que cette tuerie était d’origine islamiste ! Devant les évidences, ces falsifications grossières de la vérité n’ont pas tenu. Mais, depuis le 11 septembre 2001, combien de pseudo-attentats déjoués, combien d’attentats sous false flag, combien d’attentats infiltrés ont-ils été organisés et instrumentalisés ? Dans quelques années, si la liberté de penser n’a pas été supprimée, j’espère que nos petits-enfants prendront conscience que cette guerre des civilisations a été pensée et conçue par des stratèges et que les services secrets occidentaux ont entretenu le chaos  pour créer les conditions propices à l’émergence d’un nouvel ordre mondial.

 

Daniel Fortis

1231 Conches                                                                                                           26 juillet 2016

Les formes diverses des complots

Devant la persistance du doute des citoyens, les médias multiplient les émissions sur les théories du complot pour les diaboliser. De façon incompréhensible, aucun dissident n’est invité au prétexte que leurs thèses sont dangereuses pour l’ordre publique ! Les journalistes se prêtent à un simulacre de recherche de vérité et, avec un amalgame de théories saugrenues, ils ironisent, décrédibilisent et condamnent toutes les théories sans aucune analyse. Le vrai journalisme n’a pas peur de donner la parole aux contestataires et leur permet d’expliquer les formes diverses que peuvent prendre les complots. La scénarisation des événements, l’infiltration de groupes, le truquage des enquêtes et des expertises, le matraquage médiatique et l’ instrumentalisation politique peuvent en être les composants. Les complots de l’administration américaine avec le mensonge des armes de destruction massive irakiennes et celui du massacre des nouveaux-nés koweitiens en 1990 en sont des exemples. Mais les complots peuvent aussi comporter que partiellement ces composants. Les attentats déjoués résultent la plupart du temps d’un complot consistant à infiltrer un réseau, suggérer et faciliter l’organisation de l’attentat et arrêter les terroristes. Ils peuvent être aussi minimalistes en laissant se réaliser des événements pour ensuite les instrumentaliser ( Pearl-Habour et le 11 septembre). La complexité, la sophistication et la subtilité de ces scénarios issus des services secrets sont ignorées pour ne laisser la place qu’à la diabolisation de tous ces « dangereux » complotistes qui osent contester la pensée unique.
Daniel Fortis
1231 Conches

Les théories du complot ont la vie dure

Votre journal ( TdG du 16 et 17 janvier) consacre cinq pages aux théories du complot. Douze théories sont caricaturées en quelques lignes. Déclarées comme spécieuses, vos journalistes les tournent en dérision en ignorant tout de leur fondement, de leur complexité et de l’argumentation objective des faits. Ils se lancent dans une étude psychologique des complotistes victimes de radicalisation par internet. Dans le cadre des attentats du 11 septembre 2001, ils auraient de la peine à démontrer la déviance complotiste de plus de deux mille bureaux d’ingénieurs et d’architectes américains dont la compétence est évidente. Ceux-ci ont tous signé un manifeste rejetant les conclusions incohérentes de l’enquête de l’administration américaine au motif qu’elle bafoue les plus élémentaires lois de la physique, de la statique, de la dynamique et de la chimie et réclament l’ouverture d’une enquête indépendante. Ils sont dès lors marginalisés et contraints de se défendre d’être négationnistes, antisémites, islamistes, fascistes ou communistes et d’expliquer leur déviance complotiste. La réponse est pourtant simple. L’histoire récente est pleine de mensonges à l’origine de complots avérés. L’incendie du Reichstag, le massacre de Katyn, le charnier de Timisoara, les moines de Tibhirine, l’assassinat d’Arafat, le massacre des bébés koweitiens et, enfin, les armes de destruction massive en Irak. Les mensonges à l’origine de ces complots sont accompagnés d’une instrumentalisation médiatique et politique avec des sondages, des micros-trottoirs, des statistiques et des expertises tendancieuses. Le matraquage du mensonge permet d’en faire une vérité. Napoléon Bonaparte disait que « L’Histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d’accord ». La vérité est cependant tenace et ceux qui la réclament ne sont pas prêts de se taire.
Daniel Fortis
1231 Conches