Le bonnet de Ben Laden

Le bonnet de Ben Laden.

  

La désinformation autour de la mort de Ben Laden touche des sommets après la diffusion de vidéos montrant l’ »homme le plus dangereux de la terre » filmé, de dos, avec ses cheveux teintés pour paraître plus jeune, son bonnet de laine sur la tête, ses pantoufles, sa robe de chambre, sa télécommande pour se regarder narcissiquement devant la télévision. Comment l’enthousiasmant et brillant président OBAMA peut-il s’abaisser au rôle de pitoyable bonimenteur pour « vendre » sa fable en cautionnant des vidéos ridicules et en optant pour la plus grande opacité des « preuves » ? Quelle déception ! A sa décharge, il tente de fermer la parenthèse dramatique de la guerre contre le terrorisme initiée depuis les évènements du 11 septembre 2001 dont la version est tout autant invraisemblable .On peut comprendre que seul un mensonge peut clore un autre mensonge .Malheureusement, entre ces deux mensonges et au nom de cette guerre, il y aura eu l’Afghanistan , l’Irak, la Tchétchénie, le Liban, Gaza et leurs centaines de milliers de « dommages collatéraux ». Le délire sécuritaire, le musellement des oppositions, le soutien aux dictateurs, la résurgence de l’extrême droite, la restriction des libertés individuelles, la légalisation de la torture et la diabolisation de la dissidence ont profondément changé nos sociétés. Indignez-vous pendant qu’il est encore temps

Ben Laden l’imposture

Ben Laden : l’imposture.

 

  

On veut nous faire croire que Ben Laden qui a échappé depuis 10 ans aux services secrets, aux satellites espions, aux drones et aux dénonciations à 50 Mio de dollars, a été tué par un commando après une traque initiée en août dernier !! Qui peut croire à une pareille fable ?. La panoplie d’une désinformation planétaire avec des images insignifiantes du raid, une photo truquée de Ben Laden et l’ immersion incompréhensible de la pièce à conviction alimente nos médias qui se ridiculisent en répandant une version aussi absurde. Pourquoi a-t-il fallu huit mois pour préparer une opération de nettoyage qu’une seule bombe pouvait régler et pourquoi avoir renoncer à son arrestation qui aurait permis d’avoir des renseignements essentiels sur la nébuleuse Al-Quaïda ? Cela laisse supposer que les services secrets connaissaient tout pour l’avoir inventer. Aujourd’hui, l’empire du Bien a terrassé le Mal. Les Américains peuvent dire fièrement « it’s done « . La présence en Afghanistan et au Pakistan est légitimée a posteriori par ce « succès » et l’invraisemblable version des attentats du 11 septembre 2001 est définitivement scellée avec la mort de son soi-disant cerveau. Réveillons-

 

nous, on nous raconte n’importe quoi.

Fukushima

Fukushima : l’absence des militaires.

 

  

La gestion calamiteuse de cette catastrophe jette le discrédit sur l’industrie nucléaire dont les déclarations dissimulatrices, contradictoires et incohérentes sont pathétiques. Les images télévisuelles des deux hélicoptères essayant de déverser quelques mètres cube d’eau sur un réacteur en fusion et celle de cette lance à incendie aspergeant à l’aveuglette et au gré du vent les installations éventrées sont consternantes. L’indigence des moyens mis en œuvre pour combattre les émissions radioactives dépasse l’entendement. Dans cette catastrophe majeure,   l’armée japonaise a été inexistante. Elle aurait pu solliciter la technologie et la puissance de l’armée américaine et de l’OTAN pour disposer immédiatement de groupes électrogènes et déployer conjointement une armada d’hélicoptères pour noyer cette centrale sous une chape de béton . Rien, l’inertie totale. Quant aux armées occidentales, elles sont engagées dans des croisades plus valorisantes et moins dangereuses en Libye et en Afghanistan. Elles devraient aussi troquer quelquefois leur rôle de gendarme   avec celui de protecteur de la population de la planète.

 

 

Une opportunité pour Israel

Une opportunité pour Israël

En pleine effervescence politique du monde arabe voisin, le gouvernement israélien, conforté par le soutien indéfectible des Etats-Unis, continue imperturbablement à autoriser l’implantation de colonies en Palestine. Son silence sur l’émergence de la démocratie à ses frontières cache mal son malaise après la chute des dictateurs Ben-Ali, Moubarak et Khadafi qui avaient en commun leur alignement pro-occidental et leur hystérie anti-terroriste. Se réclamant de la démocratie, comment Israël peut-il regretter ces dictateurs et se méfier des peuples qui tentent de retrouver leur dignité ? Israël devrait comprendre que sa politique de colonisation humilie l’ensemble de la communauté arabe et justifie leur légitime ressentiment. Leur gel serait un signe d’une volonté de rechercher la paix avec les nouvelles structures
démocratiques émergentes du monde arabe. Saura-t-il saisir cette opportunité ?

 

L’imbroglio égyptien

L’imbroglio égyptien et le désarroi occidental

L’inconsistance et la versatilité des propos des chefs d’Etat occidentaux sur les évènements en Tunisie et en Egypte révèlent leur vision simpliste et arrogante.

Depuis la chute de l’empire ottoman, les Occidentaux n’ont pas cessé de s’ingérer dans la gouvernance des pays arabes. Colonisation, protectorat, corruption, répression, fragmentation territoriale, expulsion et annexion ont fragilisé toute la région. Sous le prétexte de promouvoir la démocratie, ils ont soutenu les pires régimes dictatoriaux pour défendre leurs intérêts pétroliers. Ils ont combattu tous les mouvements d’indépendance et de progrès incarnés par Atatürk en Turquie, Nasser en Egypte, Mossadegh en Iran, Soekarno en Indonésie. Ils ont étouffé les aspirations légitimes de ces pays à retrouver leur identité et leur fierté. L’islamisme est devenu le seul recours de ceux qui veulent s’affranchir du joug de nos valeurs matérialistes et consumériste. Aujourd’hui, les seules formations structurées et surtout structurantes sont les partis prônant un islamisme tolérant. La guerre au terrorisme a engendré l’islamophobie, a justifié les pires dérives et a fait perdre toute vision politique.

La Turquie qui fait cohabiter les valeurs islamiques avec la démocratie devrait nous servir d’exemple.

La colère de Banki-moon

Surnommé « l’anguille glissante » pour sa capacité à éluder les questions embarrassantes, le secrétaire général de l’ONU a piqué une grosse colère au Conseil des droits de l’Homme à Genève (TG du 26 janvier 2011). Motif de son courroux ?

Les propos d’un rapporteur spécial de l’ONU qui émettait des doutes sur la version officielle de la tragédie du 11 septembre 2001. La virulence disproportionnée de sa réaction protège l’omerta qui prévaut autour de ces événements. Pourtant, peut-on ignorer les 1400 bureaux d’architectes et d’ingénieurs américains qui réclament la réouverture de l’enquête ? Peut-on ignorer les parents des victimes qui se sont groupés en association pour avoir des réponses à leurs questions? Peut-on ignorer les éminents scientifiques, professeurs d’écoles polytechniques, qui déclarent leur incrédulité sur les causes de l’effondrement des tours et plus particulièrement de l’immeuble WTC7 (Rappel : Immeuble de 42 étages abritant des nombreux services fédéraux, n’ayant subi aucun impact d’avion, qui s’effondre en 6 secondes et demi à 17h20 à la suite de quelques foyers d’incendie suspects)? Peut-on ignorer les spécialistes en démolition assistée (dynamitage) qui déclarent que c’était un « travail d’expert » ?

A la place de réponses à ces questions légitimes, l’indignation théâtrale et le matraquage de la version officielle selon le principe « si vous voulez qu’un mensonge devienne Vérité, répétez celui-ci en permanence haut et fort ». Les parents des victimes de cette tragédie ne se satisferont pas du martèlement de cette « vérité ». Leur douleur ne s’apaisera que si ils ont des réponses à leurs questions.

Indignez-vous

INDIGNEZ-VOUS

  

Stéphane HESSEL, l’auteur du livre « Indignez-vous » qui connaît un fulgurant succès, s’est vu interdit de conférence par une ministre-potiche du gouvernement de M. SARKOZY, au pitoyable prétexte de ne pas pouvoir assurer sa sécurité. Auparavant, le CRIF et deux intellectuels « d’opérette » Bernard-Henry LEVY et Alain FINKELKRAUT ont fait pression pour que Stéphane HESSEL , jeune homme de 93 ans, ne puisse pas exprimer son indignation vis-à-vis de la politique répressive israélienne, de l’extrême richesse d’une minorité arrogante, de l’extrême pauvreté d’une majorité et du cynisme des marchés financiers qui font actuellement « joujou » en bourse avec des produits alimentaires vitaux pour les plus défavorisés. En France, on muselle Stéphane HESSEL. A Genève, on accueille prochainement le grand criminel de guerre, G.W BUSH. Indignez-vous

L enfer fiscal

L’enfer fiscal : l’outrance comme argument

  

  

Les partis de l’Entente combattent l’harmonisation fiscale en Suisse avec un matraquage d’encarts publicitaires. Leur slogan « Non à l’Enfer fiscal » est pathétiquement outrancier et mensonger. Il est révélateur de leur désarroi à trouver des arguments pour défendre une concurrence fiscale sans limite.Celle-ci pénalise dramatiquement les cantons comme Genève qui assurent le fonctionnement d’hôpitaux, d’universités et d’institutions internationales. Quant aux cantons « boîte aux lettres » qui ne subventionnent que les géraniums au balcon de leurs citoyens, ils reçoivent une manne surabondante de leurs riches contribuables. Cela engendre une spirale de dumping fiscal qui s’autoalimente avec la venue toujours plus importante d’évadés fiscaux. Pendant ce temps, les cantons qui supportent de lourdes charges publiques deviennent exsangues et doivent choisir entre l’augmentation de leurs impôts ou l’abandon des programmes d’utilité publique. Ce scénario catastrophique est aggravé par la ghettoïsation des Riches et des Pauvres, la déchirure du tissu social et l’abandon du principe de solidarité. Nous pourrons, à ce moment là, parler d’Enfer Social

ALERTE, ils reviennent

ALERTE, ils reviennent

 

  

Aux Etats-Unis, le spectre du retour des ultraconservateurs ressurgit dans les prochaines élections à mi-mandat. Les Tea Party, émanation d’un populisme primaire, rassemblent les nostalgiques de BUSH, les illuminés de Dieu, les obsédés de la gâchette, les va-t-en-guerre, les fiscalophobes, les homophobes, les islamophobes, les maccarthystes, les créationnistes et les racistes.

 

Lors de ces réunions, des femmes dont la virulence est inversément proportionnelle à leur quotien intellectuel haranguent des foules débiles et attaquent le président en des termes haineux et racistes.

 

Ces mouvements sont soutenus par le milieu ultralibéral de la finance viscéralement allergique à toute fiscalité et aides sociales.

 

Ces ultralibéraux, décrédibilisés par la crise financière dont ils étaient directement responsables, n’avaient pas pu s’opposer en 2008 à l’élection de Barack OBAMA. Aujourd’hui, après seulement une année de « purgatoire » ils recommencent à engranger des milliards. Ragaillardis et arrogants, ils investissent et noyautent la politique américaine pour combattre leur président et défendre leurs privilèges.

 

Les citoyens américains, menacés de récidive bushiste, doivent réagir pour épargner à la planète une nouvelle catastrophe.

 

 

Une presse courageuse

Une presse courageuse

  

Votre journal a publié le 11 septembre l’interview de Monsieur GOLAY, président de l’association romande « Le 11 septembre en question ». Celle-ci demande la réouverture de l’enquête sur ces événements dramatiques et très controversés. Devant le consensus général et forcené de toute la presse autour de la version officielle, votre rédaction n’a pas eu peur de bousculer un tabou. Les propos intentionnellement mesurés et pertinents de M. GOLAY traduisent le sentiment de tous ceux qui veulent l’émergence de la Vérité. Votre journal y contribue. Bravo