Les preuves irréfutables de la NASA

Les preuves « irréfutables » de la NASA.

  

LE Temps du 20 juillet a publié une photo de la surface lunaire constellée de cratéres et un point microscopique indéfinissable que les spécialistes de la NASA ont identifié comme le LEM de la mission Apollo 14 . Il aura donc fallu 40 ans pour apporter cette preuve « irréfutable » ! La faiblesse de celle-ci renforce la suspicion et conforte la théorie de la fiction cinématographique.

L’incroyable et fabuleuse épopée du 20 juillet 1969 est devenue un mythe « intouchable » que se sont approprié les gens   pour devenir un des repères de leur vie. Les six missions qui ont suivi jusqu’en 1972 ont donné l’impression d’une telle maîtrise technique qu’elles se sont déroulées dans l’indifférence générale. Quarante ans après, pour mettre simplement en orbite autour de la terre la navette Endeavour, il aura fallu six tentatives problématiques de décollage depuis le 13 juin. Les ingénieurs de la NASA auraient-ils « perdu la main » malgré les formidables progrès technologiques et informatiques ( souvenez-vous de la taille des ordinateurs en 1969 !!!). La confiance des ingénieurs de la NASA    à l’époque était sans limite. Une semaine avant l’exploit,ils avaient fait du marketing auprès de toutes les télévisions pour préparer les journalistes à cette superproduction cinématographique ( voir Le Temps du 15 juillet Témoignage de Georges KLEINMANN)

Toutes ces incohérences s’ajoutent à celles des photos   perdues, retrouvées et enfin remasterisées. La discrétion et les parcours de vie cahotiques des protagonistes de   cette épopée ainsi que l’incompréhensible désintéret à exploiter le potentiel de la lune pendant 40 ans restent aussi des énigmes. Malgré toutes ces questions sans réponse, personne n’est prêt à remettre en doute la véracité de cette aventure mythique

La dérobade suspecte de Barak Obama

La dérobade suspecte de Barak Obama

  

En contradiction avec ses engagements de campagne et en rupture avec sa courageuse politique des droits de l’homme, le nouveau président a rétabli les tribunaux militaires spéciaux à Guantanamo. Ceux-ci ne devraient servir qu’à l’inculpation et la condamnation programmée d’une vingtaine de détenus sur les 800 « dangereux terroristes » incarcérés. Ils tenteront d’arracher des aveux à des prisonniers détruits physiquement et mentalement par des années d’incarcération et de tortures. Quelle raison peut justifier une telle justice ?. Très certainement, la raison d’Etat. L’implication totale des Etats-Unis dans la soi-disant lutte antiterroriste depuis le 11 septembre 2001 a profondément bouleversé nos valeurs et façonné un nouvel ordre mondial « sécurisé ». Au fil des années, le danger terroriste « type Ben Laden » s’avère avoir été une duperie manipulatrice. Pour ne pas être déjugé par l’Histoire, le gouvernement américain doit absolument dénicher d’obscures coupables. Ainsi, Khaled Cheikh Mohammed, (180 séances de simulation de noyade) sera jugé pour avoir organisé les attentats du 11 septembre. Qui peut croire une telle fable ? Son procès à huit clos ne peut être qu’une parodie de justice qui ne servira qu’à conforter la version controversée des attentats du 11 septembre 2001

Durban II

Durban II : des questions en suspens.

  

La suppression de toutes mentions à Israël dans le texte   final de la conférence n’aura pas suffit à éviter le boycott et les atermoiements ridicules des pays européens. Il aura fallu les propos explosifs d’Ahmadinejad sur le racisme du gouvernement israélien pour justifier à posteriori leur désistement. Parmi tous les propos outranciers et scandaleux du président iranien, son dernier discours était le moins inaceptable. En effet, le gouvernement israélien, n’établit-il pas un statut de citoyenneté discriminatoire envers les Arabes ?. Ne pratique-t-il pas une politique d’expulsion, de colonisation et d’annexion au détriment des Palestiniens ? Ne confisque t-il pas un droit fondamental en s’opposant à la création d’un Etat palestinien ? N’abrite-t-il pas un ministre des Affaires Etrangères qui prêche l’expulsion des Arabes et l’avènement du Grand Israël ethniquement pur ? Ces questions sensibles méritent des réponses.   Et ce n’est pas le départ théâtral des représentants occidentaux durant le discours d’Ahmadinejad, ni l’humiliation de la Suisse par le rappel de l’ambassadeur israélien qui éluderont ces questions

OTAN

OTAN : ça sert à quoi

  

A l’occasion du soixantième anniversaire de l’OTAN, ses dirigeants ont été interrogés sur le statut, la légitimité et les buts de cette machine de guerre inféodée aux   Etats-Unis. Après les réponses lénifiantes telle que la défense de la démocratie dans le monde, ils ont évoqué l’argument-massue : la lutte contre le terrorisme avec son mythe fondateur du 11 septembre (dont la version est de plus en plus contestée). Que n’a-t-on pas fait au nom de cette lutte ? Guerres, massacres, occupation, emprisonnement arbitraire et torture. A Strasbourg, les Black Blocks ( pourtant connus de tous les services de police) ont continué de sévir en toute impunité. Leur vandalisme a permis de discréditer les mouvements pacifistes opposés à l’OTAN et justifier la répression de ceux-ci. L’arrogante armée de l’Occident échappe à tout contrôle démocratique. Elle ignore les résolutions de l’ONU et autolégitimise toutes   ses actions. Elle ressemble à celle des Croisés du 11ème siècle qui, au nom de la chasse aux Infidèles et aux Hérétiques,   n’a apporté que désolation et malheur. La mission civilisatrice que se donne l’OTAN en Afghanistan est un leurre pour masquer sa véritable mission. Celle de défendre un nouvel ordre mondial basé sur une dictature économique, culturelle et militaire.

 

 

La diabolisation de la dissidence

La diabolisation de la dissidence

  

Ayméric Chauprale est un géopoliticien de l’armée française et un chargé de cours à l’Université de Neuchâtel. Il a été congédié sur-le-champ par Hervé Morin, ministre français de la Défense. Motif : oser prétendre que seule une démolition « contrôlée » peut expliquer la façon dont les tours du Word Trade Center se sont effondrées le 11 septembre 2001. Cela a suffit pour mettre en place la machine à diaboliser. Ce scandaleux licenciement n’élude cependant pas les interrogations. La majorité des ingénieurs, des physiciens, des chimistes ou, tout simplement, des personnes de bons sens (qui prennent le temps d’analyser les images) concluent à l’absurdité de la version officielle. Croire que des incendies isolés ont pu détruire totalement en six secondes dans l’après-midi du 11 septembre le troisième bâtiment WTC7 est une totale inepsie. Il est plus facile de croire que le soleil tourne autour de la terre. Jusqu’à quand devrons-nous subir ce terrorisme qui réduit l’intelligence à une maladie dangereuse et contagieuse ?

 

 

1300 Palestiniens pour exemple

1300 Palestiniens pour l’exemple

  

Un récent livre de Jacques Chessex rencontre un grand succès. « Un juif pour l’exemple ».

 

Le crime abominable d’un juif par des jeunes nazis à Payerne en 1942 nous rappelle d’avoir toujours à l’esprit que toute société peut engendrer des monstres. La déshumanisation de l « Autre », sa soi-disante fourberie ou malfaisance, sa dévalorisation « raciale » conduisent à la banalisation de l’horreur. De la même façon il faut dénoncer la banalisation des morts de Gaza. La déshumanisation des victimes palestiniennes considérées comme des dommages collatéraux et la différence de « prix » entre une vie israélienne et palestinienne banalisent des crimes de guerre que le monde entier feint de ne pas avoir vu. La « correction » infligée à la population de Gaza appelée « Plomb durci » aurait du s’appeler « 1300 Palestiniens pour l’exemple »

Poncet se prend pour Verges

Poncet se prend pour Vergès

  

Le point commun qui lie Me Vergès et Me Poncet est leur propension à vouloir attirer sur eux les feux des projecteurs avec des causes « indéfendables ».

La comparaison s’arrête là. La mégalomanie, l’outrance et la provocation de Me Poncet n’ont rien à voir avec l’intelligence, la sensibilité et le courage de Me Vergès. Celui-ci choisit de défendre des personnes emprisonnées dont les actes ont déjà été condamnés par l’opinion publique et l’Histoire. Me Poncet, quant à lui, préfère défendre Khadafi, un dictateur terroriste, tortionnaire et preneur d’otages, mais courtisé par Sarkozy, Berlusconi et Bush.

Le premier sert une justice universelle pour écrire l’histoire. Le deuxième se sert d’un ergotage procédurier pour attaquer les autorités suisses en évoquant le droit international alors que son client retient actuellement en otage deux ressortissants suisses. Comment un avocat peut-il plaider dans le contexte d’un chantage aussi odieux ?

Gaza Impasse totale

Gaza l’impasse totale

  

Le Hamas a interrompu la trêve en lançant des roquettes sur les villes israéliennes proches de la frontière. Cette reprise de la violence amène deux constatations. Premièrement, le Hamas a maîtrisé pendant six mois l’extrémisme de certains de leurs membres. Deuxièmement, cette trêve n’a permis aucune amélioration des conditions de vie des Palestiniens. Leur situation est restée dramatiquement inadmissible. Nourriture, électricité, essence, eau, médicaments distribués selon le bon-vouloir des Israéliens. Territoire sous embargo, enclavé, découpé et asphyxié qui ne survit qu’avec l’assistance internationale. Peuple humilié qui ne retrouve sa dignité qu’en élisant le Hamas. Comment peut-on imaginer et garantir que plus aucune roquette ne soit lancée contre Israël ? Ceux qui en font un préalable à toute négociation sont soit des naïfs, soit des hypocrites, soit de cyniques manipulateurs. En effet, à partir de combien de roquettes journalières le gouvernement israélien jugera-t-il que les conditions sont réunies pour arrêter leur expédition punitive ? 5, 3 ou 2 ? Très certainement, il exigera que plus aucune roquette ne frappe Israël. Exigence totalement déraisonnable en considérant les milliers de civils palestiniens qui pleurent un enfant, une femme, un père honteusement qualifiés de dommages collatéraux. Leur douleur ne pourra s’apaiser que par la vengeance. Et le cycle de la violence continuera.

L’insécurité qui en résultera cautionnera la politique israélienne d’occupation, expulsion, colonisation et d’annexion. Mis à part les Etats-Unis, celle-ci a été chaque fois   sanctionnée par l’ONU et la communauté internationale. Cela n’a pas empêché Israël de les ignorer avec indifférence.

La paix ne peut pas se faire si les deux ennemis ne se parlent pas. La mise à l’écart du Hamas, sous le prétexte qu’il ne reconnaît pas l’Etat d’Israël, est absurde. Il est évident qu’aucun Palestinien ne peut reconnaître Israël dans ses frontières actuelles. Cette reconnaissance impliquerait l’acceptation de l’occupation israélienne de territoires conquis lors de guerres dites de sécurisation. Il est certain que le retour aux frontières de 1967 garantirait la paix. Malheureusement, cette éventualité parait inimaginable pour l’Etat d’Israël.

Jersey, île paradisiaque

Jersey, île paradisiaque

  

 

Autrefois, certains territoires servaient de refuges aux pirates, aux flibustiers, aux forbans et aux fraudeurs.

Ces territoires avaient pour nom : Jersey, Guernesey, Ile de Man, Gibraltar, Ile Vierge, Bermudes, Bahamas, Ile Caïman, Malte, Seychelles, Aujourd’hui, (quelle étonnante similitude ! ) ces mêmes îles servent de refuges aux pirates de la finance. Ceux-ci ont troqué leur bandeaux, foulards, cache-œil et tête-de-mort pour le costume-cravate.

Autrefois, les pirates étaient pourchassés par les rois ou les gouvernements de l’époque.

Aujourd’hui, nos démocraties collaborent avec leurs sucesseurs. En effet, le Conseil Fédéral n’a-t-il pas autorisé l’UBS à planquer le « cadeau » des contribuables suisses ( six milliards de francs) dans une filiale de l’île de Jersey ? 

 

Un procès honteux

Un procès honteux.

  

 

Les attentats du 11 septembre 2001 vont enfin trouver leur épilogue au grand soulagement de l’ administration Bush. Le proces du soit-disant cerveau des attentats a débuté à Guantanamo.

L’accusé, arrêté au Pakistan en 2003, détenu secrètement et torturé pendant quatre ans, a été exhibé aux médias après avoir avoué pas moins de 31 attentats !.

Un de plus ou un de moins, qu’importe, l’essentiel c’est qu’il plaide coupable ! Comment peut-on croire, un seul instant, à cette sinistre affabulation ?

Ce procès est une pantalonnade qui fait suite à l’abracadantesque rapport d’enquête commandité par l’administration Bush sur les événements du 11 septembre. La directive « circulez, y’a rien à voir » a guidé cette enquête tronquée , fallacieuse et incroyable pour toute personne de bon sens.

Nous comprenons bien que cette administration décrédibilisée veuille clore le dossier avec une condamnation-bidon pour marginaliser la recherche de la vérité et diaboliser les questions des soit-disant « révisionnistes ». Cela n’empêchera pas que, dans le fond de la conscience publique, le doute et la suspicion continueront d’entourer cette machination qui aura permis la « mise au pas » de tous les peuples au nom de la défense du Bien contre le Mal.