Archives de catégorie : 11septembre

L’appareil sécuritaire américain

L’appareil sécuritaire américain.

La presse nous a appris que l’appareil sécuritaire américain employait 850.000 personnes !! Son hypertrophie en fait un véritable Etat dans l’Etat et le secret qui l’entoure le rend totalement incontrôlable. Au nom de la lutte contre le terrorisme, ce monstre bafoue les lois les plus élémentaires, autorise les pires dérives et cautionne n’importe quelle action militaire. Pour justifier son existence et un budget de fonctionnement de 75 milliards de dollars, il doit en permanence inventer des menaces et déjouer des pseudo- attentats : l’attentat de Time Square, le passager d’avion bricolant des explosifs sur ses genoux, les médecins-terroristes, le bio- terroriste de 16 ans, les semelles explosives, l’eau explosive, l’anthrax et toute sorte de scénarios. Les insurgés, les résistants ou, plus simplement, les opposants   sont traités de terroristes. La nouvelle gouvernance mondiale est basée sur la peur. Ce n’est pas nouveau. Au Moyen-Age, les seigneurs entretenaient la peur avec des histoires de loup-garou pour asservir la population et éliminer leurs ennemis. Les dramatiques événements du 11 septembre 2001, dont la version officielle est de plus en plus contestée, ont été instrumentalisés pour fabriquer un nouveau loup-garou, Al-Quaïda. La réouverture de l’enquête sur ces événements est essentielle pour sortir de cette dictature de la peur et pour échapper aux tentacules de la pieuvre sécuritaire.

De l’inertie à l’hystérie

2001 – 2010 : de l’inertie à l’hystérie.

  

Un épisode de l’hystérie anti-terroriste a échappé à notre presse locale. Le 7 avril 2010, durant le vol Washington – Denver, le steward a averti le policier embarqué qu’une odeur de fumée se dégageait des toilettes. Un diplomate qatari, qui avait fumé une cigarette, en est sorti. Interrogé par le policier, il a ironisé en déclarant qu’il tentait de mettre le feu à ses chaussures. Devant cette « menace terroriste », le pandore l’a plaqué au sol et a alerté la tour de contrôle. La sécurité a immédiatement fait décoller deux chasseurs F16 pour escorter l’avion. Quelle efficacité et quelle réactivité !! Cela n’a pas été toujours le cas. Le 11 septembre 2001 à 8h 13,   alerte de détournement d’avions . A 8h 45, crash d’un avion sur la première tour du WTC. A 9h 03, crash d’un deuxième avion sur la deuxième tour. A 9h 37, crash d’un prétendu avion sur le Pentagone. Pendant une heure et 23 minutes, aucun chasseur de l’armée américaine n’a décollé. Hypnotisés devant leurs télévisions qui transmettaient en direct les événements, les commandants de l’armée la plus puissante du monde n’ont pas jugé nécessaire de déclencher l’alerte ! Cette incompréhensible et coupable inertie et ce dysfonctionnement majeur n’ont pas été relevés dans l’enquête officielle et les responsables de ce « ratage » n’ont même pas été sanctionnés. Ce sont peut-être les mêmes responsables qui ont fait décoller deux F16 le 7 avril pour une plaisanterie déplacée ! Comment peut-on rester sans interrogation sur l’invraisemblable version de l’enquête sur le 11 septembre 2001 ?

Les racines de l’islamophobie

Les racines de l’islamophobie

  

Selon un rapport du Sénat américain, l’administration Bush a intentionnellement laissé s’échapper Ben Laden lors de l’invasion de l’Afghanistan en 2001 !!

 

Comment expliquer que l’administration américaine n’ait pas voulu poser quelques questions au chef d’Al Quaïda ?.L’arrestation de Ben Laden était certainement trop embarrassante. Son interrogatoire aurait démontré qu’il n’était pas le commanditaire des attentats du 11 septembre et que Al-Quaïda n’était qu’une invention des services secrets américains. L’immatérialité de cette organisation et l’évasion de son chef l’ont transformé en une nébuleuse . L’avantage d’une nébuleuse, c‘est qu’elle est, à la fois, nulle part et partout. Ne pouvant pas identifier la menace, une peur irrationnelle a saisi le monde entier et tous les Musulmans sont devenus des terroristes potentiels.L’énorme manipulation , dont fait partie la version officielle des « attentats » du 11 septembre 2001, a totalement réussi et instillé   l’islamophobie dans le monde entier. La dramatique votation des Suisses sur les minarets en est la preuve. Le pays a renié toutes ses valeurs et est devenu un contre-exemple pour la communauté internationale qui le considérait jusqu’alors comme un modèle.

La dérobade suspecte de Barak Obama

La dérobade suspecte de Barak Obama

  

En contradiction avec ses engagements de campagne et en rupture avec sa courageuse politique des droits de l’homme, le nouveau président a rétabli les tribunaux militaires spéciaux à Guantanamo. Ceux-ci ne devraient servir qu’à l’inculpation et la condamnation programmée d’une vingtaine de détenus sur les 800 « dangereux terroristes » incarcérés. Ils tenteront d’arracher des aveux à des prisonniers détruits physiquement et mentalement par des années d’incarcération et de tortures. Quelle raison peut justifier une telle justice ?. Très certainement, la raison d’Etat. L’implication totale des Etats-Unis dans la soi-disant lutte antiterroriste depuis le 11 septembre 2001 a profondément bouleversé nos valeurs et façonné un nouvel ordre mondial « sécurisé ». Au fil des années, le danger terroriste « type Ben Laden » s’avère avoir été une duperie manipulatrice. Pour ne pas être déjugé par l’Histoire, le gouvernement américain doit absolument dénicher d’obscures coupables. Ainsi, Khaled Cheikh Mohammed, (180 séances de simulation de noyade) sera jugé pour avoir organisé les attentats du 11 septembre. Qui peut croire une telle fable ? Son procès à huit clos ne peut être qu’une parodie de justice qui ne servira qu’à conforter la version controversée des attentats du 11 septembre 2001

La diabolisation de la dissidence

La diabolisation de la dissidence

  

Ayméric Chauprale est un géopoliticien de l’armée française et un chargé de cours à l’Université de Neuchâtel. Il a été congédié sur-le-champ par Hervé Morin, ministre français de la Défense. Motif : oser prétendre que seule une démolition « contrôlée » peut expliquer la façon dont les tours du Word Trade Center se sont effondrées le 11 septembre 2001. Cela a suffit pour mettre en place la machine à diaboliser. Ce scandaleux licenciement n’élude cependant pas les interrogations. La majorité des ingénieurs, des physiciens, des chimistes ou, tout simplement, des personnes de bons sens (qui prennent le temps d’analyser les images) concluent à l’absurdité de la version officielle. Croire que des incendies isolés ont pu détruire totalement en six secondes dans l’après-midi du 11 septembre le troisième bâtiment WTC7 est une totale inepsie. Il est plus facile de croire que le soleil tourne autour de la terre. Jusqu’à quand devrons-nous subir ce terrorisme qui réduit l’intelligence à une maladie dangereuse et contagieuse ?

 

 

Un procès honteux

Un procès honteux.

  

 

Les attentats du 11 septembre 2001 vont enfin trouver leur épilogue au grand soulagement de l’ administration Bush. Le proces du soit-disant cerveau des attentats a débuté à Guantanamo.

L’accusé, arrêté au Pakistan en 2003, détenu secrètement et torturé pendant quatre ans, a été exhibé aux médias après avoir avoué pas moins de 31 attentats !.

Un de plus ou un de moins, qu’importe, l’essentiel c’est qu’il plaide coupable ! Comment peut-on croire, un seul instant, à cette sinistre affabulation ?

Ce procès est une pantalonnade qui fait suite à l’abracadantesque rapport d’enquête commandité par l’administration Bush sur les événements du 11 septembre. La directive « circulez, y’a rien à voir » a guidé cette enquête tronquée , fallacieuse et incroyable pour toute personne de bon sens.

Nous comprenons bien que cette administration décrédibilisée veuille clore le dossier avec une condamnation-bidon pour marginaliser la recherche de la vérité et diaboliser les questions des soit-disant « révisionnistes ». Cela n’empêchera pas que, dans le fond de la conscience publique, le doute et la suspicion continueront d’entourer cette machination qui aura permis la « mise au pas » de tous les peuples au nom de la défense du Bien contre le Mal.

 

OBAMA, au secours

Jusqu’à la fin , l’administration BUSH ne nous épargne rien. Après les invraisemblables, incohérentes et insignifiantes conclusions de l’enquête sur les événements du 11 septembre, le procès du soit-disant « cerveau « de ces attentats, Khaled Cheikh Mohammed (bizarre, je croyais que c’était Ben Laden) s’est ouvert à Guantanamo. Sous une juridiction militaire avec des magistrats nommés par Bush. Avec, pour seul public, soixante journalistes sélectionnés. Et la retransmission des débats sur écran avec un différé de vingt secondes. Comment la justice peut-elle être pareillement bafouée et ridiculisée ? L’accusé, arrêté au Pakistan en 2003, détenu secrètement et torturé pendant quatre ans, a été exhibé aux médias après avoir avoué pas moins de 31 attentats !! On se croirait au Moyen-Age quand l’Inquisition brûlait sur la place publique les sorcières qui avaient avoué sous la torture leur criminelle allégeance au diable. Comment la » Grande Démocratie Américaine » qui se targue de défendre les valeurs de liberté et de justice peut-elle accepter cette ignomineuse pantalonade ? Au secours, OBAMA

Le reniement de Marion Cotillard

Quelques jours après son triomphe à Hollywood, les médias ont révélé ses anciennes déclarations interrogatives sur la conquête de la lune et, plus grave, sur les événements du 11 septembre. Ses propos ont fait l’effet d’une bombe aux Etats-Unis. Sous la menace de lui retirer son Oscar et de torpiller son avenir cinématographique, elle n’a eu que le choix de se rétracter. En 1633, l’Eglise, pour défendre son hégémonie idéologique, menaçait Galilée des feux de l’enfer s’il persévérait à prétendre que la terre tournait autour du soleil. Il s’est, lui aussi rétracté.

Aujourd’hui, le nouvel ordre mondial traque et condamne toute dissidence ou libre-pensée.

Le mensonge ( les armes de destruction massive de Saddam Hussein ) la manipulation ( le terrorisme international ) et la pression sont ses moyens de gouvernance et la liberté d’opinion n’est autorisée que si elle ne touche pas à ses dogmes.

L’épopée lunaire des missions Apollo suscite de nombreuses interrogations du fait de son incohérence chronologique, stratégique, scientifique et humaine ainsi que l’invraisemblance des photos et des films.

Quand aux événements du 11 septembre, le rapport d’enquête, commandité par le gouvernement américain, n’a accouché que de banalités. Il élude les principales questions et reste superficiel sur toutes les implications, les responsabilités et les dysfonctionnements suspects de tous les services. Cette enquête tronquée et fallacieuse (qui aura coûté moins que l’enquête sur les frasques sexuelles de Bill Clinton), ne parvient pas à éclipser les inepties scientifiques.

La tyrannie du politiquement correct étouffe toute réflexion. Cependant elle n’empêchera pas la terre de tourner autour du soleil.

Aux oubliés de Guantanamo

Vous, les rescapés du bombardement de la prison de MAZAR-EL-CHARIF.

Vous, les rescapés des camions de la mort.

Vous, les rescapés des massacres des moudjahidin.

Vous avez été mis en cage comme des animaux parce que vous avez cru trop fort aux dogmes de votre religion.

Vous portez des chaînes aux pieds mais vous ne savez pas de quoi vous êtes accusés.

Vous êtes brisés, humiliés et torturés depuis deux ans pour expier le drame du 11 septembre que la plupart de vous ignorait.

Vous êtes traités comme des sous-hommes au mépris des droits les plus élémentaires.

Vous êtes oubliés par toutes les instances internationales qui ne veulent pas froisser la susceptibilité des maîtres du monde.

Vous êtes victime de cette machination planétaire tendant à démontrer l’omniprésence du terrorisme. Le délire sécuritaire obsessionnel qui en résulte permet à des cow-boys texans, sous prétexte de la lutte contre le terrorisme, d’asservir le monde à leur nouvel ordre mondial débile : Les Bons et les Méchants, les Puissants et les Faibles, les Riches et les Pauvres, les Pollueurs et les Pollués, les Manipulateurs et les Manipulés.

Ce monde binaire ne peut que susciter la révolte et la violence. Et toutes les îles de notre planète ne suffiront pas à enfermer et à museler ceux qui s’opposeront à cette nouvelle dictature.

La manipulation des esprits

Au lendemain de l’attentat du 11 septembre, les Etats-Unis sont entrés en guerre contre le terrorisme. Avant d’analyser les résultats de l’enquête, les autorités ont désigné des coupables facilement identifiables pour le citoyen américain. A l’aide de schémas tirés de la filmographie d’Hollywood, ils ont défini le scénario : Ben Laden dans le rôle du docteur NO, les talibans dans le rôle des abominables créatures sanguinaires mi-homme, mi-démon, Al Quaïda avec ses milliards de dollars, et le décor de l’Afghanistan avec ses bases secrètes.

Cependant, tous les faits contredisent ce scénario manipulateur et simpliste. Les autorités américaines ont été contraintes de « trouver » opportunément une cassette vidéo dans une maison en ruine pour impliquer Ben Laden. Les abominables talibans se sont avérés soit des « illuminés » soit des « paumés » de la civilisation occidentale qui, pour la plupart, ne savaient pas ce qui s’était passé le 11 septembre. Les bases secrètes truffées de technologie de pointe et abritant des armes effroyables, biologiques et nucléaires, se sont avérées des « grottes rudimentaires » et les armes, des Kalachnikov vétustes et des vieux chars russes aussi fiables qu’une Lada. Les millions de dollars nécessaires à la préparation de l’attentat se sont transformés en quelques milliers de dollars pour acheter des billets d’avion, des cutters et des programmes de simulations de vol.

Les autorités américaines continuent de mentir sur les ramifications planétaires du terrorisme dans la préparation de ces attentats et occultent la démarche individuelle qui anime les terroristes aussi bien aux Etats-Unis qu’en Israël. Mis à part quelques révélations sur les terroristes ayant séjournés en Europe, une chape de plomb pèse sur les autres terroristes. Ne serait-il pas primordial d’étudier le parcours et la personnalité de ces kamikazes pour comprendre et combattre le terrorisme? A t-on peur de dévoiler que ceux-ci ont sacrifié leur vie à travers une démarche personnelle qui repose sur la désespérance et l’humiliation. Le manichéisme et le bellicisme américain occultent cette analyse pour continuer à entretenir l’hystérie antiterroriste.

Cependant, si les Etats-Unis ne s’attaquent pas aux causes de ce terrorisme, celui-ci ne sera jamais éradiqué. Et, ce n’est pas la formidable puissance américaine qui, au mépris de toutes les règles humanitaires, y parviendra. Le résultat de cette politique ne sera pas seulement improductif mais engendrera encore plus de fanatisme et de haine.

 

 

Pour échapper à cet engrenage infernal, les Etats-Unis doivent comprendre qu’ils ne sont pas seuls sur cette planète et que leurs valeurs, la force et l’argent, ne sont pas des valeurs de paix.