ATTENTAT DE BERLIN: DIFFICILE A CROIRE.

19  décembre : un camion fonce dans la foule et provoque un carnage. Un suspect pakistanais est arrêté. 20 décembre L’attentat est revendiqué par Daesh dans un site djihadiste ( dont la plupart sont créés et instrumentés par les services occidentaux ). 21 décembre : le suspect est relâché après une incompréhensible garde-à-vue de 36 heures !  22 décembre : Après avoir dissimulé pendant trois jours la découverte d’une pièce maîtresse de l’enquête, la police allemande exhibe la carte d’identité « oubliées » par le terroriste ( scénario identique à Nice, Paris et New-York ) !  23 décembre : C’est au tour de la police italienne d’avoir la chance de « réduire au silence » le présumé terroriste lors d’un banal contrôle de routine ( la mort est privilégiée à l’arrestation dans les affaires liées au terrorisme). 24 décembre. Pour accréditer la piste terroriste, on découvre un dangereux réseau composé du cousin et de l’oncle. Comment acceptons-nous un scénario aussi incroyable  et pourquoi nos services et nos médias le relaient-ils inconditionnellement ? Premièrement, il faut que l’Ordre triomphe. Deuxièmement, il faut que les services sécurisent la population avec l’élimination du danger. Tercio, il faut désigner de façon indubitable la responsabilité des intégristes musulmans pour éviter d’envisager d’autres pistes : par exemple la piste de l’extrême-droite comme lors de l’attentat de Bologne ou de la déviance psychiatrique d’un loup solitaire. Quand cesseront ces manipulations des esprits et cette infantilisation ?

 

Daniel Fortis

1231 Conches                                                                                                           26 décembre 2016