Qui peut croire la NASA ?
Une nouvelle renversante nous est parvenue : La NASA a égaré les enregistrements-vidéo originaux des premiers pas de l’Homme sur la Lune !!!
Elle en est réduite à demander des duplicatas aux télévisions pour « retravailler » ces images en vue, paraît-il, d’en améliorer la clarté !!! Ne serait-il pas plus juste de dire « en vue de corriger toutes les incohérences et invraisemblances qui jettent le doute sur la véracité de la mission APPOLO du 20 juillet 1969 ? Quelle belle opportunité de perdre des originaux compromettant et de les remplacer par des images débarrassées des ombres croisées, des empreintes de pas invraisemblables, des horizons lunaires rigoureusement identiques pour des missions différentes, des zones d’alunissage intacts après le pose du LEM et d‘une multitude d’autres erreurs !!!.Après la correction de celles-ci, il restera encore beaucoup de questions.
Comment est-on passé des premières rotations de John GLENN autour de la terre en 1962 aux incroyables missions APPOLO sept ans plus tard ? Comment expliquer leur extraordinaire précision et fiabilité, alors qu’aujourd’hui, 37 ans plus tard, avec les progrès extraordinaires de la technologie et de l’informatique, le programme spatial américain est en panne suite aux défaillances des diverses navettes Columbia et Discovery ?. Comment expliquer le désintérèt de la NASA à implanter une base d’observation ou une station émettrice sur la Lune ( à la place de jouer au golf ) ? Pourquoi la technique d’alunissage en douceur n’a jamais été reproduite ? Comment comprendre la discrétion et le silence des acteurs de cette fantastique et mythique épopée ? Pourquoi le premier homme à avoir foulé le sol d’une autre terre a-t-il été écarté de la scène publique à tel point que son nom et prénom sont pratiquement inconnus du grand public ( un indice : son prénom n’est ni Louis ni Lance ). Comment, à la suite de leur expérience extraterrestre, ces héros ne se sont-ils pas senti dépositaires d’un message à l’adresse de tous les Terriens et pourquoi n’ont-ils pas éprouvé le besoin de le communiquer par des livres, des témoignages, des conférences ? Comment interpréter la légéreté de la NASA après la « perte » de ces images dont la force symbolique dans l’imaginaire du vingtième siècle est sans équivalence ? Cette indifférence incompréhensible renforce le sentiment « qu’on nous raconte n’importe quoi ».