La très sérieuse chaîne de télévision Arte a diffusé un documentaire-canular intitulé « Opération Lune ».
Ce reportage donne la parole à des hauts responsables américains, Henri KISSIGER et Donald RUMSFELD ainsi que des généraux qui « témoignent » que les images de la conquête de la lune n’ont été qu’un montage cinématographique effectué en studio à Londres sous la direction de Stanley KUBRICK. Des experts et des scientifiques renchérissent en évoquant les invraisemblances de certains faits troublants ( disparition de la scène publique de tous les acteurs de cette épopée lunaire, décalage technologique entre les mises en orbite de l’époque et la sophistication de l’alunissage en douceur, l’incohérence des images avec des ombres croisées, le mystère des pellicules et des photos qui résistent à des températures de cent cinquante degrés, l’abandon de tous les programmes lunaires et, surtout, le manque d’intérêt incompréhensible de laisser sur la lune un observatoire de l’espace, une station émettrice ou une base spatiale).
A ces questions légitimes, aucune réponse n’est donnée si ce n’est l’éclat de rire des acteurs de ce documentaire qui disent s’être bien amusés en jouant le rôle de révisionniste.
Cette attitude cabotine de la part de hauts dirigeants américains est très suspecte. Ce révisionnisme, s’il s’avérait justifié, serait un séisme mondial discréditant l’Amérique aux yeux du monde entier. Le mépris aurait dû être la seule réponse de ces responsables lorsqu’on leur a proposé de jouer un tel rôle.
Devant le doute toujours plus grand autour de la version officielle ( 300 sites internet traitent de la question ), ils choisissent, plutôt que de répondre à ces questions légitimes, de ridiculiser ceux qui les posent. Couvrir de ridicule le questionneur n’élude pourtant pas les questions. A vouloir biaiser « au second degré » celles-ci, on n’arrêtera pas l’installation toujours plus grande du doute.